Groupama lance l’Assurance Prairies pour compenser les pertes de production d'herbes de vos prairies. Depuis 2005, les agriculteurs ont la possibilité de s’assurer dans le cadre d’un contrat dit d'«ASSURANCE RECOLTE», subventionné […] Un produit d’assurance-socle climatiqueseait commercialisé à partir de l’automne 2015 (pour la récolte 2016) en grandes cultures, et au printemps 2016 pour la viticulture, l’arboriculture et les prairies, a annoncé Groupama lors d’une conférence de presse, le 17 février. Votre rendement réalisé est celui réalisé en cas de sinistre climatique, sinon c’est votre rendement historique moyen mentionné dans les Conditions Particulières de votre contrat Assurance Récoltes. « Seulement un tiers des agriculteurs sont assurés contre les conséquences des aléas climatiques. Le réchauffement climatique a une incidence réelle sur les aléas, de plus en plus fréquents. Ce change. Depuis l’année 2016 plombée par de multiples aléas climatiques ayant coûté 420 M€ d’indemnisations aux agriculteurs, le système d’assurance multirisque climatique est d’autant plus en sursis que l’année 2019 aura, aussi, coûté cher : 250 M€ d’indemnisations selon Groupama. si vous refusez de réaliser ce re-semis, et en cas de perte de réassurée pour la constitution des garanties prévues par la réglementation des entreprises d’assurance ... Ces aléas climatiques sont définis dans le lexique des présentes Condi- ... endommagée par l’aléa climatique et validée par l’expert. » Sur le département des Deux-Sèvres, Groupama enregistre « 875 contrats assurance multirisques climatiques », dénombre Joël Millet. « Il a donc été décidé de stopper la souscription des contrats ''Climats'', en affaires nouvelles. Mais voilà cela n'as pas plu a Cerise, et au 31 octobre 2018 Cerise m'a résilier mon contrat aléas climatique pour le 31 décembre tout en sachant (déclaration d'aléas fait au 01 octobre pour une mauvaise levée de colza ) que j'avais un aléas climatique encours 100 %. Début juillet, Groupama a donc décidé de couvrir également, dans le cadre de l’assurance multirisque climatique, les aléas sanitaires. Depuis l’année 2016 plombée par de multiples aléas climatiques ayant coûté 420 M€ d’indemnisations aux agriculteurs, le système d’assurance multirisque climatique est d’autant plus en sursis que l’année 2019 aura, aussi, coûté cher : 250 M€ d’indemnisations selon Groupama. «Nous avons décidé exceptionnellement de prendre en compte ces risques, car ils sont dus aux aléas climatiques, avec une franchise de 25 % dans le contrat», précise Christophe Buisset. LES ALEAS CLIMATIQUES ASSURES : LE GEL, LA SECHERESSE, L’EXCES D’EAU Les dommages aux cultures dus au gel, à la sécheresse et aux excès d’eau causent des pertes considérables tous les ans dans les exploitations agricoles. Groupama rappelle que « comme pour tout contrat d'assurance, la commercialisation d'un contrat ''aléas climatique'', est conditionnée à l'absence d'un risque certain ». (4) Votre chiffre d’affaires sécurisé : c’est le chiffre d’affaires que … Passons sur deux années de débats pour arriver à la conclusion. En cas d'événements climatiques, l'Assurance Prairies de Groupama couvre le besoin en herbe nécessaire à l'alimentation de votre cheptel, qu'elle soit fauchée ou pâturée. Groupama se donne donc un double rôle : • Maximiser la résilience des actifs qui lui sont confiés, dans une vision de long terme, en optimisant les risques et opportunités, notamment liés à l’impact du réchauffement climatique sur la valeur des actifs ; Cette décision ne concerne que les exploitants non encore assurés en Multirisques Climatiques ». Depuis 2016, l’assurance multirisque climatique que l’on connaisait depuis 2010 disparaît au profit d’une autre assurance multirisque climatique. L’assurance récolte est morte, vive l’assurance récolte !