Ou les churros espagnols croustillants ? En réponse à : Hymnes d’Europe. Friedrich Spee), and the setting quickly produced variants regarding the distribution of the alleluias. Épargne-nousTa vengeanceBénis nos villages,Prairies, terres, villes et maisonsQuand notre peuple se batGuide-le vers la victoireDieu de justice, sauve et nourrisLes terres serbes et la lignée serbe !Que de la tombe noire du fils serbeJaillisse une lumièreEt fasse renaître une nouvelle vieSeigneur ! (bis)Mais ces despotes sanguinaires,Mais ces complices de Bouillé,Tous ces tigres qui, sans pitié,Déchirent le sein de leur mère !Aux armes, citoyens …Amour sacré de la Patrie,Conduis, soutiens nos bras vengeursLiberté, Liberté chérie,Combats avec tes défenseurs ! L’hymne a été récemment officiellement re-orthographié Ons Heemecht pour mettre à jour l’ancienne orthographe qui était Ons Hémécht. Sur les Tatras il foudroie, le tonnerre frappe violemment.Arrêtons-les mes frères,Cependant ils se perdront,Les Slovaques renaîtront.Notre Slovaquie a jusqu’ici profondément dormi.Mais les éclairs du tonnerreVont la pousser,Pour qu’elle se réveille. L‘Hymne à la Liberté était à l’origine un poème écrit par Dionysios Solomos en 1823 composé de 158 strophes. L’hymne national letton signifie “Dieu, bénis la Lettonie !“. Par la suite, en 1891, il a été chanté pour la première fois en tant qu‘hymne national par l’Association économique Slavonie-Croatie à Zagreb sous le nom de Lijepa nasa. Les paroles ont été écrites en 1819 par Adam Oehlenschläger et portaient la devise en latin : Ille terrarum mihi praeter omnes angulus ridet (Horace : “Ce coin de terre me souris entre tous“). Parmi ces nouveaux ’’symboles’’ de la Nation : les hymnes, textes musicaux censés raconter l’histoire des nations, exprimer leurs valeurs et leurs aspirations, ou refléter l’âme des peuples. Ces phalanges mercenairesTerrasseraient nos fiers guerriers ! Bénis le Hongrois, ô Seigneur,Fais qu’il soit heureux et prospère,Tends vers lui ton bras protecteurQuand il affronte l’adversaire !Donne à qui fut longtemps broyéDes jours paisibles et sans peines.Ce peuple a largement payéPour les temps passés ou qui viennent.Aux Carpates, sur ton conseilNos aïeux osèrent s’étendre.Quelle belle place au soleilTu aidas nos pères à prendre !Aussi loin que de la TiszaEt du Danube le flot danse,Aux fils héroïques d’Arpad,Tu as prodigué l’abondance.Tu fis onduler, à l’instarDes mers, les épis dans nos plaines,Et tu permis que du nectarDe Tokay nos coupes soient pleines.Grâce à toi, nos drapeaux ont puFlotter chez le Turc en déroute,Les murs de Vienne être rompusPar Matyas et ses noires troupes.Hélas ! Là où l’Alzette traverse les prés,Où à travers les rochers, la Sûre se creuse son chemin.Les vignes aux abords de la Moselle, nous offrent leur parfum,le ciel nous fait du vin.C’est ça notre pays pour lequelici bas nous serions prêts à tout vaincre.Notre patrie, que nous portons si profondément dans nos cœurs.Notre patrie, que nous portons si profondément dans nos cœurs.Les bois sombres formant couronne,Sauvegardés par la paix en silence,sans faste ni splendeur coûteuse, Souriant gentiment.Son peuple heureux, pourra se dire,et ce ne sont pas des rêves vides :Nous ne manquons de rien ici, dans notre foyer douillet.Nous ne manquons de rien ici, dans notre foyer douillet. Depuis la Seconde Guerre mondiale et la chute de l’Allemagne nazie, seule la troisième strophe est utilisée comme hymne. Des hymnes parfois républicains ou de loyalisme dynastique (ici on pensera, par exemple, au ’’God save the Queen’’ britannique, au ’’Wilhelmus’’ néerlandais ou à la ’’Marcha Real’’ espagnole). Ce que l’étranger nous a pris de force, Nous le reprendrons par le sabre.Refrain :Marche, marche Dombrowski,De la terre italienne vers la Pologne ;Sous ta direction,Nous nous unirons avec la nation.Nous passerons la Vistule, nous passerons la Warta,Nous serons Polonais.Bonaparte nous a donné l’exemple,Comment nous devons vaincre.RefrainComme Czarniecki vers PoznańAprès l’invasion suédoise,Pour sauver la Patrie,Revint par la mer.RefrainDéjà, le père à sa BasiaDit tout en pleurs :« Écoute ! Le « Maria Stella » est, avec l’hymne du Vatican, le seul qui se chante en latin. Kde domov můj, kde domov můj,Voda hučí po lučinách,bory šumí po skalinách,v sadě skví se jara květ,zemský ráj to na pohled!A to je ta krásná země,země česká domov můj,země česká domov můj! Ces hymnes nationaux des pays européens, vous pouvez déjà en découvrir vingt-sept d’entre eux (dont ceux de l’Islande, de la Norvège, du Liechtenstein, de Saint-Marin ou de la Turquie) sur le CD édité (sous le haut patronnage du Conseil de l’Europe) par l’association ’’Europe et Liberté’’ (www.eurolibe.com). pp. Selon la légende, l’hymne national belge a été écrit en Septembre 1830, pendant la Révolution belge, par un jeune révolutionnaire appelée “Jenneval”, de son vrai nom Alexandre Dechez, qui a lu les paroles lors d’une réunion au café de l’Aigle d’Or. Compositions à côté desquelles les actuels hymnes polonais (« Marche de Dabrowski » de Jozef Wybicki), italien (« Inno di Mammeli » de Goffredo Mameli), grec (« Hymne à la Liberté » de Denys Solomos) ou "vaticano" (« Hymne pontifical » et « Marche pontificale » de Charles Gounod) font vraiment pâle figure : avec respectivement 40, 16, 15 et 21 vers seulement... pour ceux que j’ai effectivement pu comptabiliser (dont la répétation à cinq reprise du même refrain - soit la moitiée des seuls 40 vers ici comptabilisés - pour l’hymne polonais...). quel outrageQuels transports il doit exciter !C’est nous qu’on ose méditerDe rendre à l’antique esclavage !Aux armes, citoyens …Quoi ! O Dieu d’Islande !Nous chantons ton nom, ton nom mille fois saint.Les cohortes des temps te tressent une couronne de soleilsdu firmament sans fin.Devant toi un seul jour est comme mille ans,et mille ans un jour, O Seigneur,une fleur d’éternité, sur la lande tremblant,qui adore son Dieu et puis meurt.O mille ans d’Islande :une fleur d’éternité, sur la lande tremblant,qui adore son Dieu et puis meurt. Pour le meilleur ou pour le pire, les hymnes nationaux ont accompagnés les pays européens pendant les moments les plus brillants de leur récit national, et malheureusement aussi les périodes les plus nationalistes de l’histoire du continent. Un ouvrage où ce musicologue nous livre une vaste étude très complète et très érudite concernant les hymnes nationaux des différents pays composant non seulement l’Europe ’’communautaire’’ actuelle mais aussi toute l’Europe géographique (i.e. Nasıl böyle bir imanı boğar.« Medeniyet! 4. hymne danois). Soulignant l’internationalisme, il était défini en 1994 comme hymne national par la Loi sur les symboles nationaux de la Slovénie. Wou d’Uelzecht durech d’Wisen zéit,Duerch d’Fielsen d’Sauer brécht,Wou d’Rief laanscht d’Musel dofteg bléit,Den Himmel Wäin ons mécht:Dat as onst Land, fir dat mer géifHei nidden alles won,Ons Heemechtsland dat mir so déifAn onsen Hierzer dron.An sengem donkle Bëscherkranz,Vum Fridde stëll bewaacht,Sou ouni Pronk an deire GlanzGemittlech léif et laacht;Säi Vollek frou sech soë kann,An ‘t si keng eidel Dreem:Wéi wunnt et sech sou heemlech dran,Wéi as ‘t sou gutt doheem!Gesank, Gesank vu Bierg an DallDer Äärd, déi äis gedron;D’Léift huet en treie WidderhallA jidder Broschts gedon;Fir, d’Hemecht ass keng Weisze schéin;All Wuert, dat vun er klénkt,Gräift äis an d’ Séil wéi HimmelstéinAn d’A wéi Feier blénkt.O Du do uewen, deen seng HandDuerch d’Welt d’Natioune leet,Behitt Du d’Lëtzebuerger LandVru friemem Joch a Leed;Du hues ons all als Kanner schonDe fräie Geescht jo ginn,Looss viru blénken d’Fräiheetssonn,Déi mir sou laang gesinn! En raison du grand nombre de langues utilisées dans l’Union européenne, l’hymne adopté est seulement sa version instrumentale sans paroles, dans le langage universel de la musique. Un ouvrage très complet où on trouvera aussi une foultitude de renseignements divers et variés extrêmement précis sur les hymnes breton, gallois, andorran, monégasque, pontifical, ’’san-marinien’’, groenlandais, féringien, du Liechtenstein et des Sorabes de Lusace, etc (sans parler des hymnes européen et... olympique !). Allons enfants de la Patrie,Le jour de gloire est arrivé !Contre nous de la tyrannieL’étendard sanglant est levé, (bis)Entendez-vous dans les campagnesMugir ces féroces soldats ?Ils viennent jusque dans vos brasÉgorger vos fils, vos compagnes !Aux armes, citoyens,Formez vos bataillons,Marchons, marchons !Qu’un sang impurAbreuve nos sillons !Que veut cette horde d’esclaves,De traîtres, de rois conjurés ?Pour qui ces ignobles entraves,Ces fers dès longtemps préparés ? Plus tard, la chanson a été officiellement adoptée pour être l’hymne de la Macédoine indépendante. (pour précision ces informations me viennent de ma grand-mere espagnole qui connait les deux versions des paroles de l’ hymne et qui m’ en a expliqué l’ histoire) Much more important are his other hymns, which are k… Go to person page > ^ top. » dediğin tek dişi kalmış canavar?Arkadaş! L’hymne comprend trois strophes, mais seul la première est chantée. Disque disponible ici! ’’Les Hymnes européens. Mais on peut raisonnablement s’inscrire en faux contre cet espèce de dénigrement ’’global’’ dont ces chants feraient systématiquement l’objet. Certes, des paroles avaient - antérieurement - été rajoutées sous le roi Alphonse XIII (1886-1931), mais elles n’ont alors néanmoins jamais reçu aucun caractère officiel. “L’Europe ne se fera pas d’un coup, ni dans une construction d’ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes créant d’abord une solidarité de fait.”. Le 6 mars 2007 à 14:09, par ? Il a le même statut que Der er et yndigt land. Ici, nous vous proposons donc deux CD pour les écouter. L’hymne a été écrite à l’origine en 1955 pour une utilisation dans la République socialiste soviétique de Biélorussie. Heróis do mar, nobre povo,Nação valente, imortal,Levantai hoje de novoO esplendor de Portugal!Entre as brumas da memória,Ó Pátria, sente-se a vozDos teus egrégios avós,Que há-de guiar-te à vitória! L’hymne a été adoptée le 25 Juin 1999, par la promulgation de la loi sur l’hymne national de la Bosnie-Herzégovine, en remplacement de l’hymne précédent, Jedna si jedina, qui excluait les communautés serbes et croates du pays. Toi l’antique, toi le libre et montagneux Nord,Toi le Silencieux, toi le joyeux et beau.Je te salue, Toi, pays le plus beau du monde.Ton soleil, Ton ciel, Tes pâturages verts.Ton soleil, Ton ciel, Tes pâturages verts.Tu te reposes sur les mémoires des grands jours anciens,Quand Ton Nom était célébré de par le monde.Je sais que Tu es et que Tu seras comme Tu étais.Oui, je veux vivre, je veux mourir dans le Nord.Oui, je veux vivre, je veux mourir dans le Nord. Au-dessus des monts Tatras brille l’éclair a été écrit en 1844 durant les semaines d’agitations étudiants contre les dénégations répétées de recours à la commission scolaire pour revenir sur le licenciement de Štúr. Une autre histoire raconte qu’un soir, en 1847, des diplomates discutaient passionnément des soulèvements de la journée dans la maison du consul américain. En réponse à : Hymnes d’Europe. (bis)Grand Dieu ! Avant de devenir un hymne national, c’était une chanson populaire des Monténégrins, avec de nombreuses variantes de son texte. 11 à 23). Les femmes se levèrent aussi pour se battreComme les hommes. Saviez-vous par exemple que le plus ancien hymne national au monde est le Wilhelmus, … L’hymne est apparu dans un livre de mélodies pour clairons militaires datant de 1761, connu sous le nom de Marcha Granadera. Dans le cadre d’une recherche avec ma classe, je cherche à savoir quel est l’hymne européen le plus long.Comme réponses possibles, on me donne l’Espagne, l’Italie, la Grèce et la Pologne. Dans presque toutes les rues européennes, vous trouverez un chat déambulant à son gré, vacant à ses petites affaires félines. Le 11 août 2006 à 21:39, par Ronan Blaise Alors, à quoi bon ?! (Cf. Pensez au téléphone, à la presse écrite, au cinéma, au World Wide Web ou au télescope… Ou aux inventions qui ont un impact sur notre vie quotidienne comme les lunettes, le dentifrice ou les lentilles de contact souples…. Deșteaptă-te, române, din somnul cel de moarte,În care te-adânciră barbarii de tirani!Acum ori niciodată croiește-ți altă soarte,La care să se-nchine și cruzii tăi dușmani! Le mercredi 1er Août, l’hymne national suisse est chanté dans tout le pays, depuis les sommets des montagnes des Grisons jusqu’aux rives du lac Léman et dans une des quatre langues officielles du pays. Des hymnes éventuellement révolutionnaires, toujours truffés de références historiques ou - parfois même - religieuses où l’on chante sa loyauté envers la Patrie et ’’Le Roi, la Loi, la Liberté’’ (Cf. Il n’existe aucune loi concernant l’hymne national officiel en Finlande, mais Maamme est fermement établi par convention. T his tune was the setting for the Easter hymn, Lasst uns erfreuen herzlich sehr, which celebrates the resurrection narrative from the perspective of Mary.It first appeared in the Jesuit hymnal Ausserlesene Catholische Geistliche Kirchengesänge (Cologne, 1623, ed. méritante et croyant au Droit !Depuis toujours, j’ai vécu libre, et je vivrai libreQui est le fou qui voudrai m’enchainerJe suis comme un torrent rugissant, franchissant mes obstacles en les anéantissantJe briserais les montagnes, je sortirais de mon lit, je déborderais.Même si le monde occidental encercle mes fortificationsMes frontières sont aussi solides que ma foi et ma fiertéTu es forte, n’aie crainte ! Notre langue est un trésorEnraciné dans les profondeurs,Une chaîne de pierres raresDispersée sur notre patrie.Notre langue est un feu qui brûleAu milieu d’un peuple qui, sans nouvelles,S’est réveillé d’un sommeil de la mort,Comme le héros dans les contes.Notre langue n’est que chansonL’expression de nos désirs profonds,Un essaim d’éclairs, perçantDes nuages noirs, des horizons bleus.Notre langue, c’est la parole du pain,Quand l’été est mû par le vent,Prononcée par nos ancêtres,Ils ont béni notre terre avec leur sueur.Notre langue est une feuille verteLe frémissement des forêts éternelles,L’ondulation calme du Dniestr cacheLes chandeliers des étoiles.Vous n’allez plus vous plaindre amèrementQue votre langue est trop pauvre,Et vous allez voir ce qu’elle offreLa langue de notre chère patrie.Notre langue est un vieux parchemin,Des histoires d’un autre temps.En les lisant, l’une après l’autreDes frissons profonds nous viennent.Notre langue est choisiePour soulever au ciel des louanges,Pour nous dire, à l’église et à la maison,Les vérités éternelles.Notre langue est une langue bénie,La langue des anciens sermonsQui sont pleurés, qui sont chantésPar les paysans, dans leur foyer.Ramenez donc à la vie cette langue,Rouillée depuis si longtemps,Essuyez la crasse et la moisissureDe l’oubli dans lequel elle gémit.Assemblez la pierre à étincellesQue le soleil allume.Et vous aurez en abondanceUne nouvelle inondation de mots.Un trésor va surgirEnraciné dans les profondeurs,Une chaîne de pierre rareDispersée sur notre patrie. L'hymne européen n'est pas destiné à remplacer les hymnes nationaux des pays de l'Union européenne mais à célébrer les valeurs qu'ils partagent. 18. Su üle Jumal valvakumu armas isamaa!Ta olgu sinu kaitsejaja võtku rohkest õnnista,mis iial ette võtad sa,mu kallis isamaa! Du gamla, Du fria (“Toi l’antique, toi le libre”) est l’hymne national de la Suède. En réponse à : Hymnes d’Europe, MERCI POUR CES RENSEIGNEMENTS LE HAZARD M’ A APPRIS QUELQUES CHOSES, 13. Mu isamaa, mu õnn ja rõõm signifie “Ma patrie, mon bonheur et ma joie” et a été adopté comme hymne national de la République d’Estonie en 1920, et de nouveau en 1990. Le 21 juin 2006 à 01:49, par Ali Baba Chorus, La Pologne n’a pas encore disparu, Tant que nous vivons. Les paroles de l’hymne hongrois sont inhabituelles en ce qu’elles reflètent un plaidoyer direct à Dieu plutôt qu’une proclamation de la fierté nationale, la norme pour le genre. Land der Berge, Land am Strome,Land der Äcker, Land der Dome,Land der Hämmer, zukunftsreich!Heimat großer Töchter und Söhne,Volk, begnadet für das Schöne,|: Vielgerühmtes Österreich! La Bulgarie a eu trois hymnes nationaux précédents et les paroles de Mila Rodino ont beaucoup été changées. Sinne Fianna Fáil,atá faoi gheall ag Éirinn,Buíon dár sluathar toinn do ráinig chugainn,Faoi mhóid bheith saorSeantír ár sinsear feasta,Ní fhágfar faoin tíorán ná faoin tráill.Anocht a théam sa bhearna bhaoil,Le gean ar Ghaeil, chun báis nó saoil,Le gunna-scréach faoi lámhach na bpiléar,Seo libh canaig’ amhrán na bhFiann. En 1770, le roi Carlos III l’a déclaré “marche d’honneur” officielle, devenant ainsi la Marcha Real. (Sources : Site internet de la revue hebdomadaire Courrier International). Pendant le règne du prince Milan Ier de Serbie, les mots étaient “Dieu, sauve le Prince Milan” (knez Milana Bože spasi), qui est devenu “sauve le Roi Milan” au moment où la Serbie est devenue un Royaume. Comme la chanson contient un message de liberté et de patriotisme, il a été chanté lors de tous les grands conflits roumains, y compris la révolution anti-communiste de 1989. merci d’avance ! Les paroles ont été écrites par un jeune étudiant génois appelé Goffredo Mameli en 1847 et mis en musique quelques mois plus tard par un autre Génois, Michele Novaro. Noble Belgique, ô mère chérie,À toi nos cœurs, à toi nos bras,À toi notre sang, ô Patrie !Nous le jurons tous, tu vivras !Tu vivras toujours grande et belleEt ton invincible unitéAura pour devise immortelle :Le Roi, la Loi, la Liberté ! Traduite en latin "Domine, salvum fac regem" elle devient l’hymne royal français jusqu’en 1792. Wilhelmus van Nassouweben ik, van Duitsen bloed,den vaderland getrouweblijf ik tot in den dood.Een Prinse van Oranjeben ik, vrij onverveerd,den Koning van Hispanjeheb ik altijd geëerd.In Godes vrees te levenheb ik altijd betracht,daarom ben ik verdreven,om land, om luid gebracht.Maar God zal mij regerenals een goed instrument,dat ik zal wederkerenin mijnen regiment.Lijdt u, mijn onderzatendie oprecht zijt van aard,God zal u niet verlaten,al zijt gij nu bezwaard.Die vroom begeert te leven,bidt God nacht ende dag,dat Hij mij kracht zal geven,dat ik u helpen mag.Lijf en goed al te samenheb ik u niet verschoond,mijn broeders hoog van namenhebben ‘t u ook vertoond:Graaf Adolf is geblevenin Friesland in de slag,zijn ziel in ‘t eeuwig levenverwacht de jongste dag.Edel en hooggeboren,van keizerlijke stam,een vorst des rijks verkoren,als een vroom christenman,voor Godes woord geprezen,heb ik, vrij onversaagd,als een held zonder vrezemijn edel bloed gewaagd.Mijn schild ende betrouwenzijt Gij, o God mijn Heer,op U zo wil ik bouwen,verlaat mij nimmermeer.Dat ik doch vroom mag blijven,uw dienaar t’aller stond,de tirannie verdrijvendie mij mijn hart doorwondt.Van al die mij bezwarenen mijn vervolgers zijn,mijn God, wil doch bewarende trouwe dienaar dijn,dat zij mij niet verrassenin hunne boze moed,hun handen niet en wassenin mijn onschuldig bloed.Als David moeste vluchtenvoor Sauel den tiran,zo heb ik moeten zuchtenals menig edelman.Maar God heeft hem verheven,verlost uit alder nood,een koninkrijk gegevenin Israël zeer groot.Na ‘t zuur zal ik ontvangenvan God mijn Heer het zoet,daarnaar zo doet verlangenmijn vorstelijk gemoed:dat is, dat ik mag stervenmet ere in dat veld,een eeuwig rijk verwervenals een getrouwe held.Niets doet mij meer erbarmenin mijne wederspoeddan dat men ziet verarmendes Konings landen goed.Dat u de Spanjaards krenken,o edel Neerland zoet,als ik daaraan gedenke,mijn edel hart dat bloedt.Als een prins opgezetenmet mijner heireskracht,van de tiran vermetenheb ik de slag verwacht,die, bij Maastricht begraven,bevreesden mijn geweld;mijn ruiters zag men dravenzeer moedig door dat veld.Zo het de wil des Herenop die tijd was geweest,had ik geern willen kerenvan u dit zwaar tempeest.Maar de Heer van hierboven,die alle ding regeert,die men altijd moet loven,Hij heeft het niet begeerd.Zeer christlijk was gedrevenmijn prinselijk gemoed,standvastig is geblevenmijn hart in tegenspoed.De Heer heb ik gebedenuit mijnes harten grond,dat Hij mijn zaak wil redden,mijn onschuld maken kond.Oorlof, mijn arme schapendie zijt in grote nood,uw herder zal niet slapen,al zijt gij nu verstrooid.Tot God wilt u begeven,zijn heilzaam woord neemt aan,als vrome christen leven,—‘t zal hier haast zijn gedaan.Voor God wil ik belijdenen zijne grote macht,dat ik tot gene tijdende Koning heb veracht,dan dat ik God de Here,de hoogste Majesteit,heb moeten obediërenin de gerechtigheid. God Save The King (alternativement God Save The Queen, sous le règne d’une souveraine) était un chant patriotique qui a pour la première fois été chanté publiquement à Londres en 1745, avant de progressivement devenir l’hymne national au début du XIXe siècle. Ще не вмерла Українa ou Shche ne vmerla Ukraina se traduit en français par :“L’Ukraine n’est pas encore morte”. A ce titre, l’hymne espagnol actuel est hors concours dans la mesure où... il n’a - en tout cas à ce jour - toujours pas de paroles officielles. Korkma, sönmez bu şafaklarda yüzen al sancak; Expressions européennes sur les nationalités. Tout à fait d’accord : siffler un hymne, c’est un peu comme insulter un peuple (et même si on ne se considère pas soi-même représenté par un hymne, il y a des personnes qui le sont, et elles sont insultées). Íslands þúsund ár,Íslands þúsund ár,eitt eilífðar smáblóm með titrandi tár,sem tilbiður guð sinn og deyr. Fier le Vieux Balkan,À ses côtés le Danube bleuit,Le Soleil éclaire la plaine de Thrace,Au-dessus du Pirin il flamboie.Refrain :Patrie,Chère Patrie,Tu es un Paradis terrestre,Ta beauté, ton charme,Ah, ils n’ont pas de fin ! Les paroles de l’hymne louent maintenant une Biélorussie amicale, honorant les batailles militaires passées et regardant vers l’avenir. n’ etant pas un specialiste j’ accepterais avec joie quelques corrections et rectifications de mes propos qui ne sont que par tros imprecis, 16. L’hymne officiel le plus ancien au monde est le « Maria Stella », qui représente le pays d’Acadie. Ses origines remontent à avant la fondation de la Fédération actuelle Suisse en 1848 et sont le fruit du travail conjoint de deux hommes aux profils très différents : le prêtre catholique Alberik Zwyssig et Leonhard Widmer, un membre de l’Église réformée de Zurich. Ecrit par Mehmet Akif Ersoy, et composée par Osman Zeki Üngör, le thème de l’hymne repose sur l’affection pour la patrie turque, la liberté, la foi, le sacrifice pour la liberté et l’espoir. C’est en 1972 que le Conseil de l’Europe (qui est à l’origine également du drapeau européen) a choisi le dernier mouvement de l’Ode à la joie de Beethoven pour en faire son hymne. Que serait l’Europe sans sa philosophie ? WELCOME TO NAVICO . Le poème de l’“Ode à la joie” exprime la vision idéaliste de Schiller de la race humaine devenu frères – une vision partagée par Beethoven. Мы, беларусы ce qui signifie “Nous les Biélorusses” est le titre officieux de l’hymne national de la Biélorussie et la première ligne de ses paroles. 2. L’origine de la mélodie est toujours un conflit d’historiens. Que celui qui a su trouver la chance, Oi maamme, Suomi, synnyinmaa,soi, sana kultainen! Ei laaksoa, ei kukkulaa,ei vettä rantaa rakkaampaa,kuin kotimaa tää pohjoinen,maa kallis isien! Une sorte de reconnaissance officielle intervint quand le roi Oscar II se leva de sa chaise lorsque la chanson fut jouée en sa présence en 1893. 'Miaou' ? À partir du milieu du XIXe siècle jusqu’au début des années 1930, Malte fit l’expérience d’une prise de conscience nationale. C’est après la bataille de Culloden, qui voit la fin des espoirs des Stuart de remonter sur le trône anglais, que les Hanovre, victorieux, adopteront cet air comme hymne royal britannique... Comme quoi, les Anglois doivent aussi leurs racines au continent... n’en déplaisent à leurs natioanlistes.