J.-C. et laissa à ses successeurs un royaume supposé puissant et uni. Ces tribus forment aujourd'hui la base de la nation géorgienne moderne. Toutefois, dès l'année qui suivit, Gandja commença à montrer des signes de rébellion (notamment en cessant de payer son tribut) et Georges IV dut lancer une expédition victorieuse contre son vassal. La Kakhétie fut épargnée de la guerre et le roi Léon Ier retourna rapidement dans le giron de la Perse. Abbas Ier sut profiter de la situation et, à l'aide des nobles locaux, monta le roi contre le bailli, au point de déclencher une véritable guerre civile. Toutefois, alors que la culture transcaucasienne se réorientait vers le christianisme orthodoxe (se séparant de la tradition persane qui dominait le pays durant près de cinq siècles), le nationalisme fit également son apparition. Cette défaite géorgienne marqua la fin de la domination caucasienne sur l'entité grecque, qui était pourtant vassale de la Géorgie depuis le règne de David IV le Reconstructeur. Et finalement, les vrais vaincus furent les conservateurs qui rêvaient de voir la Géorgie réunifiée sous un seul sceptre, sans domination étrangère, sans suzeraineté de quelque puissance extérieure. En 1534, le prince Louarsab, fils de David X, accéda au trône de Kartli après la disparition de son oncle Georges IX (1525-1534). Ainsi, en une demi-douzaine d'années, il parvint à réinstaurer la paix intérieure dans le pays et commença des travaux de reconstruction des villes, des villages et des églises qui avaient souffert depuis près de deux siècles. - decitre, Le drapeau géorgien représente la croix de saint Georges, comme le. Le Khwarezm dut par la suite se soumettre en 1371 et, après une longue campagne en Asie centrale, il revint au Proche-Orient et dès 1386, il occupa l'Arménie, l'Azerbaïdjan, Erzurum et Kars. En 1431, Alexandre Ier reprit la ville de Lorri, perdue depuis les premières invasions des Mongols, avant de récupérer en 1434 la Svanétie alors en sécession. À sa fin en 1346, le règne de Georges V (désormais connu sous le nom de Brillant) fut suivi par l'arrivée de l'épidémie de la peste noire en 1347, probablement apportée par des marchands de la Mer Noire. En 1008, l'Ibérie et le royaume des Géorgiens tomba totalement dans les mains du jeune prince quand son père naturel Gourgen Ier mourut à son tour. Deux ans plus tard, David IV réussit à prendre les villes arméniennes de Sper et d'Ani, ce qui lui permit de conquérir l'Arménie historique de l'époque. Mais la période d'annexion russe fut également une époque de développement de la société et de la culture géorgienne. Attention ! Ces terres furent perdues à jamais pour la Géorgie mais une reconnaissance par Bagrat III de la nouvelle acquisition de l'empereur Basile II lui permit de recevoir le titre de Curopalate à son tour. Durant cette période, le Kartli était une région martyre qui souffrait de la politique expansionniste des puissances musulmanes, car situé au cœur du Caucase. Cette vaste et florissante culture rentra bientôt en contact avec la civilisation plus avancée de la Mésopotamie akkadienne, mais passa par la suite au stade du déclin, avant de se stagner vers 2300 avant notre ère, puis se diviser en une multitude de cultures régionales. Le mot de Géorgie est d'origine étrangère et incertaine. À ce stade de la situation, la Géorgie se retrouva de facto divisée. Allié au roi de Kakhétie Gagik Ier, il réussit à faire plusieurs sièges victorieux devant l'ancienne capitale ibère entre 1038 et 1040, mais refusa toutefois d'annexer la ville. Ainsi, en 1236, les nouveaux envahisseurs du Caucase commencèrent leur nouvelle pénétration en Géorgie, comme ils l'avaient déjà fait sous le règne de Georges IV. Mais les sentiments nationalistes des Caucasiens de l'époque leur permirent de se rebeller une nouvelle fois, après avoir vaincu le même Kekapous, qui envoya à son tour son petit-fils Kaikhosro reprendre contrôle de la Géorgie et de l'Arménie. Lors de la division de 1259, le royaume de David Narin prit également possession de la sphère d'influence chrétienne de la Géorgie, dont l'Empire de Trébizonde. L'année suivante, il réussit à expulser les derniers Turcs du sud-ouest du pays, tandis qu'en 1118, la conquête arménienne débuta avec la prise de Lorri des mains des anciens suzerains de la Géorgie. Ziebil, leur khan, atteint bientôt la frontière azerbaïdjanaise avec ses dizaines de milliers de troupes et après un long siège, Tbilissi, redevenue capitale de la Géorgie orientale, tomba aux mains des alliés khazaro-byzantins. En 1329, le roi Georges V assiégea Koutaïssi, la capitale du royaume de Géorgie occidentale, en sécession du reste du pays. Toutefois, aucune de ces alliances ne fonctionna vraiment et la défaite du sultan de Roum Kay Khusraw II en 1242 fit stopper la résistance géorgienne. Il était une histoire Anglais Georgie, Porgie. Puis Vakhtang se dirigea contre Byzance et, après avoir dévasté toute l'Anatolie et une partie de l'Asie mineure, il conclut une paix avec Constantinople et épousa la fille de l'empereur Zénon. Et même si son règne fut principalement illustré par l'invasion et l'établissement de la domination abkhaze sur la Transcaucasie centrale, ce fut la première fois que le nom de Géorgie a été utilisé dans une titulature royale. Dans les années 180, l'Ibérie s'empara de l'Alanie, mais la puissante alliance avec Rome s'acheva en 189, quand les Parthes détrônèrent le roi Amazasp II, pour placer un prince arsacide sur le trône géorgien, Rev, dit « le Juste ». En effet, le dictateur soviétique est né sous le nom de Joseph Djoughachvili à Gori, en Géorgie et pour (entre autres) cette raison, le statut de la région change considérablement. Dès l'an -65 et la défaite des Ibères contre Pompée le Grand, le royaume d'Ibérie s'affranchit de la suzeraineté arménienne pour rejoindre la sphère d'influence romaine. Dans les années 280, une coalition formée de l'Ibérie, de l'Arménie et de l'Empire romain commença une guerre contre les Sassanides dans le but de rétablir le roi Khosrov II en Arménie occidentale. Cette page contient des caractères spéciaux ou non latins. Les plus anciens sites néolithiques sont principalement situés dans l'ouest du pays, comme ceux de Khoutsoubani, Kistriki, Tetramitsa, Apiancha et Palouri. Il déporta des dizaines de milliers de Géorgiens en Perse en tant qu'esclaves et tenta de « persaniser » la Kakhétie en brûlant les principales églises du pays et en nommant un gouverneur régional, Peïkar Khan. Fédération de Transcaucasie et république démocratique de Géorgie, République socialiste de Géorgie et république socialiste fédérative soviétique de Transcaucasie, Géographie administrative et division territoriale, Réfugiés politiques, émigrants économiques et diaspora, Orthodoxie sur les territoires séparatistes. Située au pied du Caucase, sur le rivage oriental de la mer Noire, à la limite de l'Europe et de l'Asie, la Géorgie est un pays de moins de quatre millions d'habitants qui a d'anciennes traditions culturelles. Cette dernière, sous le contrôle d'un gouvernement révolutionnaire de la Ciscaucasie, fut par la suite remplacée par un gouvernement bolchévik qui signa un traité d'alliance avec Tbilissi en 1920. Dès la Haute-Antiquité, le nord de la Transcaucasie a affronté de terribles invasions. Ce dernier décida de régler la situation dans le but d'empêcher une guerre civile en Géorgie et divisa le trône géorgien, donnant le plus de pouvoir à David, fils de Georges IV, qui reçut le titre de Oulou (« l'Aîné »), tandis que son cousin fut nommé Narin (« le Jeune »). Mais malgré les efforts d'alliance, notamment contre l'Arménie, les deux royaumes se trouvèrent finalement ennemis, en raison de leurs influences : tandis que Mtskheta était vassalisé par les Parthes, Armaz s'alliait avec Rome. Trois années plus tard, le roi Georges XII succéda à son père sur le trône géorgien et son court règne fit reconfirmer le traité de Gueorguievsk. Les chefs locaux devinrent bientôt des hommes de pouvoir et de richesse, comme le prouvent les tumulus faits en argent, en or et en pierres précieuses, et ils assimilèrent en quelque temps la culture du Moyen-Orient en affichant des scènes de rituels sur les parois de leur « mausolée ». À partir de cette réélection, les affrontements militaires entre les séparatistes abkhazes et sud-ossètes et les Géorgiens se multiplient. Toutefois, le peuple se souleva contre un monarque parricide et le roi Georges X de Karthli en profita pour envahir la Kakhétie, détrôner Constantin et placer sur le trône le chrétien Teimouraz Ier, petit-fils d'Alexandre II, en 1606. En 1101, il se lança dans les conquêtes et déclara la guerre au royaume de Kakhétie, dont il priva la forteresse de Zédazadéni en vainquant le roi Kviriké IV. Teimouraz Ier avait certes la double couronne de Kartli et de Kakhétie mais il ne contrôlait en fait que cette dernière, le Kartli restant dans les mains de Georges Saakadzé. La même année, le roi de Kartli mourut et le Chah Abbas vint en personne à Tiflis pour assister au couronnement de son successeur, le jeune Louarsab II, maintenant qu'il avait repris le dessus sur les Turcs. Dès l'an 650, le prince-primat Stéphanos II dut accepter la suzeraineté arabe sur ses domaines. Toutefois, ce monarque avait lui aussi un problème dans sa succession et s'accorda avec la noblesse locale pour nommer son neveu Bagrat héritier. À cette date, l'empire géorgien était formé et la nation géorgienne s'étendait jusqu'à la Mer d'Azov, tandis que sa dite sphère d'influence allait du Tigre à l'actuelle Crimée et comprenait pas moins de sept États (dont six musulmans). Bientôt, il s'allia et forma une sorte de coalition avec les autres pays transcaucasiens et la Perse contre les Barbares, et vint à bout des ancêtres des Ossètes après une guerre qui détermina le sort de cette tribu. Il est dit dans la Chronique de Léon de Roussi (XIIIe siècle) qu'à la mort du roi, la noblesse s'accorda à diviser l'Ibérie en deux : le royaume de Mtskheta et le royaume d'Armaz. Premier système de division administrative de la Géorgie ne dépendant pas de la noblesse, le monarque espérait ainsi atténuer la puissance des Grands du royaume qui avaient mis un terme au règne de son père en Géorgie une vingtaine d'années plus tôt. Toutefois, la défense menée par le nouveau prince consort David Soslan (ancien roi d'Ossétie) fut victorieuse et Bogolioubski disparut dès lors de l'histoire. À cette même période, la puissance turcomane fut détruite par de nouveaux envahisseurs, les Séfévides du chah Ismaïl Ier, qui restaura l'empire perse et qui réussit par la même occasion à gagner la vassalité du roi Alexandre Ier de Kakhétie en 1501. J.-C., le royaume d'Ibérie se développa considérablement. La même année, il détrôna le roi Louarsab II de Kartli pour le remplacer par un autre renégat musulman, Bagrat Khan, fils de l'ancien Daoud Khan. Dans les années 100 av. Dès l’Antiquité, la Géorgie fut pendant très longtemps disputée entre les puissances qui l’entouraient, de l’Empire hellénistique à la Russie moderne (qui contrôle indirectement une partie de son territoire), en passant par les royaumes perses, l’Empire romain, les Arabes, les Mongols et les Turcs. En 1762, la Géorgie orientale fut en effet unifiée sous un seul sceptre, celui du roi Héraclius II, qui fonda ainsi le royaume de Kartl-Kakhétie, probablement dans un espoir de reconquête de l'indépendance perdue vis-à-vis des Perses. Les années de guerre passèrent et en 1555, un traité de paix fut enfin signé entre la Perse et la Turquie. Ainsi, il commença à entamer des négociations dans le but d'organiser une croisade contre les Turcs sur Constantinople au nom de celle-ci. À la mort de Staline en 1953, son successeur Nikita Khrouchtchev entame une politique qui consiste à supprimer le culte de la personne de l'ancien chef d'État. Toutefois, les villes de l'actuelle Géorgie ont été épargnées (au début) par ces invasions, grâce à une défense remarquable des Géorgiens ; mais ces fortifications ont été à leur tour détruites et les agglomérations soumises à un tribut. À cette époque, la religion officielle des rois d'Ibérie n'était guère définie. En une seule expédition, il réussit à soumettre le pays, qu'il vida de tous ses colons étrangers. En réponse à cette alliance, les Sassanides décidèrent de récupérer le contrôle sur l'Ibérie et envahirent la région. En effet, celui-ci profita de la majorité du prince Demna Bagration, fils de l'ancien usurpateur David V et héritier légitime du trône de Géorgie pour alimenter une révolte nobiliaire en 1177 avec pour but de placer à la tête du pays ledit Demna, une simple marionnette des Grands du royaume. Il créa par la même occasion le Catholicossat d'Ibérie et des centaines de Géorgiens furent baptisés. Intégrée à l'empire macédonien comme un pays vassal, la Géorgie se vit soumettre à un roi d'origine grecque, Azon. L’Histoire de la Géorgie, pays situé aux confins de l'Europe et de l'Asie, dans le Caucase, s’étend sur plusieurs millénaires et son territoire est l’un des foyers de civilisation agricole et lettrée, avec la Mésopotamie et l'Égypte.Avant cela, durant la préhistoire, les premiers hominidés connus hors de l’Afrique s’y sont établis il y a plus de 1,5 million d’années. Tous ces évènements représentèrent le début de l'Âge d'Or de la Géorgie, qui acquit une taille sans précédents (et toujours inégalée aujourd'hui) durant cette période. Il ne laissa notamment pas impuni le roi Alexandre II de Kakhétie, accusé d'être pro-russe. Il prit la ville la même année et réduisit le roi Bagrat Ier à l'état de « Duc de Chorapan ». Son monarque, Ala ad-Din (1200-1220), s'était alors enfui et mourut lors de cette fuite, laissant un trône ne contrôlant qu'une partie de l'Azerbaïdjan à son fils Jalal ad-Din qui profita d'une courte accalmie pour se pencher sur des plans de conquêtes, dans le but de reconstituer un empire puissant sous sa direction. Après avoir perdu toutes chances de récupérer leur indépendance et leur ancienne gloire, les souverains régionaux se vassalisèrent définitivement auprès des Perses dans les années 420, période où le Christianisme redevint la religion officielle de l'État ibère. Selon la Chronique médiévale de Léon de Rouissi, les premiers humains sont venus dans le Caucase, région déserte située entre le Pont-Euxin et la Mer de Casp, à la suite de la Division des Langues et de l'épisode biblique de la Tour de Babel. L'un des premiers évènements de cet apogée géorgienne fut certainement la prise d'Ani par les troupes de Georges III le 13 juin 1161. Heureusement, grâce à une alliance stratégique avec l'Arménie de Gagik Ier, l'État musulman dut bientôt supplier la paix et commencer à payer tribut, le kharadj, avant de se reconnaître vassal de Bagrat III. L'année suivante, le même roi, ancien vassal des Seldjoukides, mourut et Aghsartan II lui succéda, avant de se faire capturer par des nobles pro-géorgiens qui le livrèrent à David IV. Après l'invasion des Scythes, l'histoire de la Transcaucasie se confond avec les légendes du Shâh Nâmeh. Alors même qu’un Géorgien, le dictateur Joseph Staline, imposait un régime de terreur en URSS et était maître indiscuté du mouvement communiste mondial, les Géorgiens furent durement réprimés par les autorités soviétiques et beaucoup d’entre eux furent déportés. Avec cet État, il réussit à reprendre le contrôle de la région, mais ne put reprendre Tiflis (nouveau nom de Tbilissi), qui resta aux mains des Arabes, alliés quant à eux à la Kakhétie. D'abord soutien et vassal fidèle de l'empire houlagide, il ne tarda pas à se révolter contre les Mongols dès le début des années 1320 et cessa bientôt de payer le tribut annuel aux envahisseurs, instauré il y a près de 80 ans sous le règne de Roussoudan. Cet acte était censé ramener l'Empire de Trébizonde dans la sphère d'influence de la Géorgie, dont il s'était échappé plus d'un demi-siècle auparavant, mais l'arrivée de la flotte alliée des Byzantins et des Génois le 4 septembre 1342 anéantit la tentative, étant donné qu'Anna fut étranglée quelque temps plus tard. Contrairement au système anglais, la bureaucratie russe a largement ouvert ses rangs aux indigènes, qu'on trouve à Tiflis à toutes les échelles de l'administration civile et militaire. Toutefois, cela n'empêcha pas les pays voisins de s'en prendre au jeune État indépendant et entre 1918 et 1921, maintes guerres opposèrent la RDG à la Turquie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan et la Russie. Pour les Grecs de l'Antiquité, la Géorgie était le pays de la Toison d'or et de Prométhée.La Géorgie connut son plus grand épanouissement au XIII e siècle. C'est pour cette raison qu'entre 1399 et 1403, il dut subir pas moins de cinq invasions timourides et se reconnaître comme vassal chrétien de Tamerlan. Les russes ont dès le début (le 8 août 2008) bombardé les pistes d’atterrissage et de décollage de l’aéroport militaire de Géorgie, rendant impossible l'utilisation de l'aviation géorgienne. Devenue chrétienne en 337 (prenant alors le titre de troisième nation à choisir le Christianisme comme religion d'État), la Géorgie antique, connue sous le nom d’Ibérie, fut divisée à la fin du VIe siècle en plusieurs principautés qui furent finalement réunifiées au XIe siècle sous le sceptre de Bagrat III. La Géorgie compte plus de 4 millions d'habitants. À la mort de Chah Ismail Ier en 1524, David X organisa une dernière campagne durant laquelle il récupéra sa capitale, avant de mourir à son tour l'année suivante. Le samedi 20 juillet 337, Nino parvint enfin à faire baptiser le roi, qui fit adopter le christianisme comme religion d'État. La Géorgie orientale quant à elle garantit son indépendance grâce à la lutte de Qvarqvaré Ier de Samtskhe. Écrit par Christophe CHICLET, Régis GAYRAUD, David Marshall LANG, Kalistrat SALIA, Universalis • 15 766 mots • 7 médias; Dans le chapitre « L'histoire » : […] On peut faire remonter les débuts d'une société humaine sur l'actuel territoire de la République de Géorgie au Paléolithique inférieur et … Une série de ces pièces datant des années 1200 furent donc retrouvées. Mais la domination totale de la Perse en Ibérie ne dura pas bien longtemps. Puis petit-à-petit, la contrée se développa et après la Deuxième Guerre mondiale, plusieurs leaders du monde (dont Georges Pompidou, Fidel Castro…) visitent le pays. Ainsi, en 30 av. En 370, une paix est conclue entre les Romains et les Perses, et la Géorgie se retrouva divisée en deux. L'histoire de la Géorgie remonte aux royaumes antiques de Colchide et d'Ibérie, qui furent ensuite unifiés. La preuve en est que les mêmes tentatives d'indépendance de la Kakhétie ne furent pas brusquement réprimées par de sanglantes campagnes militaires sous le règne de Tahmasp Ier. Après cette rapide conquête, les Barbares nordiques auraient placé un certain Ouobos sur le trône caucasien. En 888 (ou 899), une nouvelle période pour la nation géorgienne fut ouverte quand le prince Adarnassé IV d'Ibérie, allié au roi d'Arménie Smbat Ier, prit le titre de « Roi des Géorgiens ».