Et puis on a ouvert le livre et patatras : « Le bonheur de se reconnaître dans le chatoiement des dissemblances en vue d’instaurer un enfer où Hermaphrodite et Narcisse s’exténueraient dans la quête d’une unité fantoche. 1 abonné Il vous reste 43.69% de cet article à lire. Chacune à sa façon, sera confrontée à ses propres principes ou ses rêveries. » Seul un générateur d’anagrammes saurait peut-être faire quelque chose de cette phrase. La Bonne Épouse: du bon usage des clichés, Charlemagne, la renaissance de l'Occident, Juliette Binoche: «J’ai mis un pantalon dès que j’ai senti le danger, à l’âge de 7 ans», Binoche, Ozon, Téchiné et Varda, les étoiles françaises à la Berlinale 2019, Calendriers et résultats des matchs en direct, Résultats, classement général Tour De France, Conseils alimentation, nutrition et santé. Et il faudra compter l’appui d’un humour positif et sarcastique pour se laisser séduire, mais serait-il judicieux de s’y attarder ? Apnée du sommeil : Comment mieux dormir ? Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Lire ses 276 critiques, Suivre son activité Le très bon choix de casting fait beaucoup dans la bonne exécution du film. Par Claro Publié le 13 juin 2019 à 13h00. La 5G est-elle dangereuse pour la santé ? On a le droit de vote, évoqué en une phrase. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Non. Christopher Nolan, avec Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. CGU | Avec un synopsis particulièrement opportun dont l'évident potentiel laissait présager une excellente comédie populaire, "La Bonne Epouse" est une immense déception! « Je ne ferai une bonne épouse pour personne » (Non saro mai la brava moglie di nessuno), de Nadia Busato, traduit de l’italien par Karine Degliame-O’Keeffe, Quai Voltaire, 272 p., 23 €. Vincent Lindon, François Damiens, Contact | Devoir dont Paulette s’acquitte avec une certaine négligence auprès de son vieux mari (François Berléand). L’égalité des sexes est en marche et la vitalité du foyer en témoigne, mais il reste du chemin avant d’y parvenir. Le message passe bien, mais quant au discours en lui-même, c’est plus délicat. Comédie . C est plat, sur joué au possible On dirait que leurs actions et leurs humeurs sont au service de l’intrigue. La Capitale devient alors le siège de tous les conflits, mais également de tous les fantasmes, choses que les jeunes filles du foyer partagent et que les plus matures redoutent. Dans la foulée, Valeurs actuelles titrait sur « la terreur féministe ». Je parlais au début de ce feuilleton de se lancer dans le vide. On ressent un discours engagé, mais la démonstration peine à convaincre de bout en bout et avec tous les bouts. La photo de Wiles paraîtra une dizaine de jours plus tard en couverture du magazine Life et accédera aussitôt à un statut mythique. Par les membres ayant fait le plus de critiques. Consternant de nullité! 32 abonnés Aucun sens. Mais il faut un début à tout et c’est avec ce genre de flottement qu’on se surprend à sourire ou à en rire, sans jugement, mais par compréhension. Il reste tout de même assez de sincérité pour que la comédie fonctionne, le temps d’un bouleversement des mœurs. 27 abonnés Lecture du Monde en cours sur un autre appareil. Entrer à l’école ménagère dirigée par Paulette Van der Beck (Juliette Binoche) dans un village d’Alsace en 1967, c’est entrer dans un monde d’autrefois aussi exotique que celui des petites filles modèles ou des demoiselles de Saint-Cyr. Retrouvez toutes les dernières critiques sur le film La Bonne épouse, réalisé par Martin Provost avec Juliette Binoche, Yolande Moreau, Noémie Lvovsky. Laissons donc Tillinac déplorer « la fin des connivences » et regardons plutôt une photo. Malheureusement, passé quelques plans sympas et quelques rires, trop de longueurs plombent un récit qui aurait pu être bien meilleur si il était plus fun et rythmé. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois. 33 abonnés John David Washington, Robert Pattinson, de En ce qui concerne le film, la dernière scène gâche tout de mon point de vue, on passe de la comédie rafraîchissante (même si loin du chef d'œuvre) à un truc inspiré de MamaMia ou de Bollywood, au choix, qui n'a pas de sens et n'est même pas amusant. Palmarès des villes où investir dans l'immobilier, Studios et 2-pièces : les loyers ville par ville, Barême des droits de succession et donation. 25 abonnés J'ai mis 3 étoiles, juste pour le jeu de Juliette Binoche qui enfin sort de ce qu'elle fait d'habitude et avec brio. 75 abonnés Adamo chante Tombe la neige, les pensionnaires portent des blouses bleues, dorment dans un dortoir surveillé par sœur Marie-Thérèse (Noémie Lvovsky). 6 abonnés Caractérisation des personnages très très très mauvaise. Publicité | Pourtant, outre le retour explosif et poétique d’André (Edouard Baer), la narration manque parfois de justesse pour ces moments forts et nuancés que l’on nous promet, l’instant d’un baiser inapproprié mais révélateur d’un conservatisme, ou bien d’un revirement louable mais parfois surréaliste. Qui sommes-nous | Mais passé la première moitié le film devient long et ennuyeux. On va même jusqu'à montrer une jeune fille se suicidant (on la voit pendue à l'écran, drôle de choix pour une comédie...) à cause d'un mariage forcé et cela ne donne suite à aucune intrigue. C’est l’histoire derrière cette photo que nous raconte l’écrivaine italienne Nadia Busato dans Je ne ferai une bonne épouse pour personne. Revue de presse | Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. A l’image de l’école ménagère, que l’on s’évertue à définir les valeurs point par point, il existe donc des nuances et un certain goût pour la révolte, à l’aube de l’année 1968. Martin Provost est un réalisateur de talent et il a au casting de très bons acteurs. Cruella, Hitman & Bodyguard 2, Mon grand-père et moi, Suivre son activité Claro plonge dans l’étang urbain avec la femme-pierre de la romancière Nadia Busato, Evelyn Francis McHale, suicidée du cliché culte Robert Wiles. J'ai eu par contre plus de mal avec celui de Y. Moreau que j'adore et qui n'est clairement pas dans son meilleur rôle ici. Lire ses 78 critiques, Suivre son activité : Plutôt que d’essayer de faire toute la lumière sur la suicidée et ses motifs, elle part de cette femme-pierre jetée dans l’étang urbain pour, en suivant les ondes concentriques générées par sa chute, donner voix et pensée à divers protagonistes : la mère, une amie, un autre suicidé, un policier, la sœur, le fiancé, Wiles lui-même, etc. Une photo qui nous montre une femme gisant sur la carapace défoncée d’une Cadillac. Les acteurs jouent très mal, ce qui n'est pas habituel pour ceux-là ! Sortie le 11 mars 2020. T 53% . Monde . Personnellement ces histoires de minorités m'ennuient, je pense qu'elles ne font qu'alimenter la haine de certains vis-à-vis de quelques castes de la population. Sans être mauvais, c'est pas non plus transcendant. Film au charme suranné, Martin Prevost restitue avec humour l'ambiance d'une école pour jeunes filles à la fin des années 60. Jan Kounen, avec La Bonne Épouse. La Bonne Épouse: du bon usage des clichés. Lire ses 136 critiques, Suivre son activité Lire ses 6 critiques, Suivre son activité J. Binoche et N. Lvovsky excellentes dans leur rôle, Baer toujours aussi bon et constant, les filles jouent plutôt bien également. Si le scénario n'est pas vraiment transcendant, les performances des 3 actrices principales sont plus que réjouissantes et sauvent le film. Une belle présence d'Edouard Baer et un trio féminin de choc avec Juliette Binoche, une Yolande Moreau toujours aussi émouvante et une bonne sœur virulente jouée par l'excellente Noémie Lvovsky. Rarement on aura vu une telle compilation de mauvaises idées scénaristiques capables de saboter une idée aussi séduisante! ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). 13 abonnés Déjà abonné ? « Je ne ferai une bonne épouse pour personne » (Non saro mai la brava moglie di nessuno), de Nadia Busato, traduit de l’italien par Karine Degliame-O’Keeffe, Quai Voltaire, 272 p., 23 €. Sujet mal voire pas traité Si c'est le cas ici, il va falloir m'expliquer ?!!) L’éternel féminin a vraiment besoin d’être sauvé par le sempiternel masculin, ici incarné par un brave petit Corrézien. On aurait pu sur ce sujet en faire des tonnes dans un réalisme dramatique, le choix a été au contraire d'adopter un ton plus léger... Pour autant ce n'est pas une comédie, le sujet de fond qu'il ne doit pas être sous-estimé. Il est aussi question de « l’avènement d’un androgynat mental », digne selon l’auteur des exactions des fous d’Allah. CRITIQUE - Juliette Binoche interprète la directrice d’une école ménagère décoiffée par le vent de liberté qui souffle sur la France en 1968. Quelques mots sur un clitoris mystérieux. Aucune intimité avec ces personnages qui dévoilent pourtant la leur : couple homosexuel, infidélité, viol conjugal, première fois à l’arrière d’une voiture, découverte de la masturbation... Recrutement | L'écriture est catastrophique, les situations navrantes, on sent une incompétence assez ahurissante dans cette incapacité totale à créer du divertissement. CRITIQUE - Juliette Binoche interprète la directrice d’une école ménagère décoiffée par le vent de liberté qui souffle sur la France en 1968. Ex. Désobéissance civile : comment des milliers d’activistes s’organisent en Allemagne, Pourquoi la fin du confinement ne sonnera pas la fin de l’épidémie, Pourquoi le vote par courrier complique la présidentielle américaine, Brexit : « Boris Johnson pense qu’il a davantage à gagner à un “no deal” qu’à un accord avec l’UE », Eva Joly : « Dans un dossier qui demandait la pondération, Eric Dupond-Moretti a choisi la brutalité », Congé paternité : une avancée à concrétiser, « Autonomes » : témoignages d’utopistes tentant de mener une vie alternative, Le Mississippi, une femme-écrevisse, une île et un accusé… : nos coups de cœur littéraires, « Le Labyrinthe du silence » : un procureur allemand lève le voile sur les crimes nazis, Un seul tandem candidat à la tête de la cérémonie des Césars, Véronique Cayla et Eric Toledano, Maria Grazia Chiuri, l’atout en or de Dior, S’aimer comme on se quitte : « Il est parti juste après notre anniversaire de mariage », Le tourin à l’ail : la recette d’Alice Quillet, S’abonner, c’est contribuer aux discussions en apportant ses commentaires aux articlesDécouvrir les offres. On lorgne donc du côté de vétéranes, comme la directrice des lieux Paulette Van Der Beck (Juliette Binoche), la cuisinière et belle-sœur Gilberte (Yolande Moreau) ou la Sœur anticommuniste Marie-Thérèse (Noémie Lvovsky). Lire ses 9 critiques, Suivre son activité Consultez le journal numérique et ses suppléments, chaque jour avant 13h. Les acteurs sont tous formidables, Juliette Binoche est exceptionnelle ! Quelle déception OK. Mais pour que ça marche, il aurait fallu un scénario qui ne se casse pas la gueule au bout de 30 minutes, avant de tomber dans l'absurdité et la connerie absolue. Tout le comique du film tient dans ses détails, ses comportements, ses situations, il y a énormément de second degré. Lire ses 1 110 critiques, Suivre son activité Des mots et messages passent en filigrane, comme une liste de choses qu’on voulait dire, sans créer d’histoire les reliants. Y. Accédez à tous les contenus du Monde en illimité. Une scène finale grotesque même si révélatrice des réalités de l'époque. Soutenez le journalisme d’investigation et une rédaction indépendante. 1,5. L'idée de base était bonne : faire un film féministe retraçant l'histoire des femmes de 1967 à la veille de Mai 68. On pouvait craindre le pire, une énième exofiction larmoyante, mais Nadia Busato, qui écrit avec la même puissance fractale et la même minutie empathique que Joyce Carol Oates, a opté pour une approche qu’on qualifiera d’excentrique. une version fantasmée du monde "d'avant", à croire que la Ftance des années 60 n'était guère au dessus de l'Afghanistan... des clichés exagérés et un final qui confine au grotesque, quel dommage. Avant La Bonne Épouse, j’ai travaillé à un projet qui ne s’est pas fait, Marcel Bascoulard, un film grave, profond [sur un dessinateur du XXe siècle, ndlr]. On aime beaucoup. Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, La Femme qui s’est enfuie Bande-annonce VO, Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait, Exhibition On Screen: Frida Kahlo Bande-annonce VF, Faustine, apôtre de la miséricorde Bande-annonce VO, Save the moonlight project Bande-annonce VF. Les différences ne devraient pas être un problème, mais la discrimination positive n'engendre que du négatif. Le droit à la contraception jeté à la volée. Lire un extrait sur le site des éditions Gallimard. Le site Allociné recense 28 critiques presse, pour une moyenne de 3,4 ⁄ 5 [2]. Vraiment déçu Heureusement que ses élèves n’assistent pas aux travaux pratiques, car il y a parmi elles quelques impertinentes qui ne manqueraient pas de la reprendre. La suite est réservée aux abonnés. Se connecter. Eviter la guerre des sexes quand les victimes s’accumulent du côté féminin, il fallait y penser, non ? Sans évoquer la fin, terriblement gênante, du fait de son incohérence avec le reste du film, de ses chansons nulles à s'en pendre, et au fait qu'on ne termine pas un film par ça put*** ! En France, les hauts revenus sont-ils tous des «riches»? Et la seule bonne idée de mise en scène, à-travers la comédie musicale, n'arrive qu'à la toute fin... et paraît tellement invraisemblable qu'elle en devient totalement ridicule! On ne rit pas Cela pouvait offrir avec un bon scénario l'un des films de l'année. Carte familles nombreuses : jusqu’à 75 % de réduction sur les billets de train. Comédie rafraîchissante et rythmée. J'ai beaucoup aimé ce film ! On en reparle plus jamais de tout le film. Ne comprend pas du tout les notes presse, Caricature des foyers d'éducation féminine des années pré-70. Préférences cookies | Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Politique de cookies | Cependant, l'idée originale est sympa et le message -bien que très mal retranscrit- est très bon. Lire ses 904 critiques, Suivre son activité Un film moyen sans plus. La femme s’appelle Evelyn Francis McHale et vient de sauter du 86e étage de l’immeuble le plus célèbre de New York. France Réalisé par Martin Provost 1h49 avec Juliette Binoche, Yolande Moreau, Noémie Lvovsky. Les pensionnaires n’auront pas forcément le développement souhaité, notamment autour de sujets comme le mariage arrangé ou l’homosexualité. Ca se passe en Alsace qui est une région qui aime bien garder ses traditions et son savoir culinaire, ce n'est pas anodin non plus.il faut aussi penser que cette époque remonte à peine à 50 ans et que le droit de vote des femmes n'a que 25 ans de plus.... C’est dans une époque pas si lointaine où nous emmène Martin Provost, quelque part entre l’éducation et l’émancipation de femmes, conditionnées aux tâches ménagères. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Lire ses 979 critiques, Suivre son activité Lire ses 5 critiques, Suivre son activité Lire ses 2 182 critiques, de Les Suisses acceptent du bout des lèvres l’acquisition de nouveaux avions de combat pour 5,6 milliards d’euros, Sur Google, l’heure des recherches à « zéro clic », Scandale William Saurin : « A chaque affaire, les réglementations rendent toujours plus lourde et complexe la machinerie comptable des entreprises », « Face aux urgences sociales et environnementales, un nouveau modèle philanthropique doit se réinventer ». Lire ses 9 critiques, Suivre son activité Lire ses 260 critiques, Suivre son activité Ce détachement aux doctrines patriarcales n’est qu’une étape, qui soulève un peu de naïveté, chose que l’on s’approprie même aujourd’hui alors que les choses avancent si peu. J'aurais préféré que la "révolution" arrive autrement... Quel est le meilleur home cinéma sans fil ? Comment choisir le meilleur extracteur de jus ? Monde ... Si La bonne épouse tombe entre les deux, rayon époque, le film de Martin Provost ratisse en revanche tout le spectre de l’humour et du drame. 1 abonné L'histoire ne se renouvelle pas, part dans une romance niaise et finit par nous perdre. Il y avait de quoi convoquer plus de sensibilité dans l’évolution de la société. Contraste : la violence de la mort, atténuée par la quiétude de la pose. Le devoir conjugal étant restrictif, les nuances que l’on apporte suffisent à poser quelques réflexions sur ces pratiques que l’on détourne au nom du social et au nom du privée, au-delà des provinces et autres territoires désenchantés. Si la bonne épouse doit savoir cuisiner, on est dans le thème : ce film est une daube. Celle prise par Robert Wiles le 1er mai 1947 au matin, vers 10 h 30, au pied de l’Empire State Building. C'est effrayant de médiocrité! L’éducation, rythmée par les secs frappements de main ou les brefs rappels à l’ordre de Paulette, impeccable métronome, consiste à apprendre les sept piliers de la sagesse domestique, qui vont du ménage à l’hygiène corporelle et au devoir conjugal. J'ai bien des souvenirs d'avant 1970..... Certes ,Les féministes n'étaient pas encore passées par là,mais je me souviens de beaucoup de bonheur dans mon petit village de l'Ouest et j'avoue en avoir de la nostalgie..... on espère que çà ne va pas déplaire à Foresti ni aux féministes hystériques.En plus,le film n'a pas été subventionné ,donc çà commence très mal. Les succès de « Séraphine » et de « Sage Femme » confirment davantage son désir de rendre hommage à celles qui n’ont pas eu autant de visibilités ou de possibilités de s’exprimer, vis-à-vis d’une domination masculine ou sociale étouffante. Si la mise en scène de Martin Provost se révèle efficace, son scénario, par contre, nous propose une histoire dramatico-comique au ton caricatural. Un récit assez terne sauvé en final par une parodie de liberté due à 68, et par un casting tout a fait honorable. Données Personnelles | Oh, on était à deux doigts de se lancer dans le vide, autrement dit de vous causer du nouveau livre de Denis Tillinac, Elle, qualifié par l’éditeur d’« éloge de l’éternel féminin », antidote à « la levée de boucliers du féminisme radical et [à] la confusion des genres » ; oui, ça nous intriguait, cette histoire d’éternel féminin, si ça se trouve on allait peut-être apprendre des choses. Le film ne semble pas vouloir plonger dans ses ouvertures dramatiques, sous peine de faire retomber une tension saisissante et régie par un burlesque que l’on ne réfute pas. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. « La Bonne Epouse » fait donc le portrait d’une France divisée et qui portera les premières luttes féministes jusqu’aux portes de Paris, sanctuaire d’espoir et de renouveau pour les femmes, quel que soit son rang ou sa condition. La désillusion devient donc un privilège et ces femmes convergent ainsi un peu plus vers le trésor qui leur était interdit. « Je ne ferai une bonne épouse pour personne » (Non saro mai la brava moglie di nessuno), de Nadia Busato, traduit de l’italien par Karine Degliame-O’Keeffe, Quai Voltaire, 272 p., 23 €. Avons passé un très bon moment avec cette VRAIE comédie qui se laisse regarder sans y apporter un oeil critique malsain ou désobligeant !!! Quelle est la meilleure montre connectée ? Sinon, au risque de m'attirer les foudres de certains, est-il absolument nécessaire en 2020 d'ajouter systématiquement des personnages homos (à moins que ce ne soit justifié, bien entendu. Dans ce cas, sauf erreur de ma part, en 1968, incroyablement il y avait des noirs, des arabes et des asiatiques en France, où sont-ils donc passés dans ce film ?! Lire ses 7 critiques, Suivre son activité Lire sa critique, Suivre son activité Une Comédie, avec laquelle on ne rit malheureusement pas, qui se déroule dans une institution ménagère en Alsace dans les années 60. Jeux concours | 176 abonnés Le premier chapitre, magistral, dit très bien à lui seul le projet de Nadia Busato, puisqu’il y est question d’une langue qu’il faut saisir à pleines mains avant de la trancher minutieusement. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Les intentions sont honorables, dommage que l’on survole certains sujets ou que l’on délaisse certains personnages au fort potentiel dramatique. En effet, bien que l’on cède rapidement plus de place à gent féminine, on ne cherche pas fondamentalement l’unité avant une conclusion peu solennelle, mais qui aura l’audace de marquer la joie de vivre et le droit de jouir d’une liberté intouchable. Non pas prétendre percer le mystère d’une mort, mais traverser les consciences à la surface desquelles cette mort a laissé des rides. Fermer la bandeau d’une raison de s’abonner au journal Le Monde. 3 abonnés La suite est réservée aux abonnés. En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Une belle au bois dormant plutôt qu’une désespérée démantibulée. Un très mauvais moment et depuis longtemps Pourquoi l'histoire avec Édouard Baer vient-elle tout foutre en l'air avec ses longueurs interminables et incohérentes ? Et pour ceux qui resteront jusqu'au bout, un final plutôt inattendu et d'une belle fraîcheur leur sera réservé. On ne peut se tromper en regardant comment ces demoiselles d’une école ménagère parviennent à rompre un lien psychologique avec un régime de l’asservissement. Le film aurait gagné tellement s'il s'était concentré sur son sujet principal... A savoir le machisme et le sexisme de cette époque, qui n'est pas du tout exagéré et qui existe toujours encore un peu de manière plus discrète. Diable ! Du reste, M. Van der Beck ne tarde pas à tirer sa révérence, ce qui ouvre sur de nouvelles aventures, d’autant. ? Caricature autant que critique de la condition quasi militaire dans laquelle les femmes apprenaient à devenir de "bonnes épouses" pour leurs maris. 2020. PS : ce n'est pas surjoué, c'est le ton de l'époque... A quoi ai-je assisté ? Lire ses 318 critiques, Suivre son activité
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Chanteur Décédé En 2016,
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